Jusqu’à Collioure, la route est encore très agréable, pas trop chaud, sympa:
Ensuite à partir de Argeles, la cote s’industrialise: camping sur camping…
Je m’enfonce à l’intérieur des terres pour arriver le soir à Perpignan où je suis accueilli par ma grande tante Dédé, mon grand cousin François et sa femme Brigitte. Je suis accueilli comme un roi et je fais une révision et nettoyage complet du vélo avec le jet de jardin, il retrouve une nouvelle jeunesse!
Alors, que se passe-t’il au centre du monde (c-a-d la gare de Perpignan selon Salvador Dali)
Et bien au centre du monde s’est tenu cette année le Festival International du Graffiti: Meeting of Styles.
S’y tiens également début septembre celui du Photo-journalisme: VISA pour l’image.
Le lendemain, je pars sur le coup des 9h du matin de Perpignan pour arriver à Narbonne vers 1h. J’en profite pour faire une halte et manger un bout, la ville est en fête, c’est le centenaire de Charles Trenet, né à Narbonne.
Entre Narbonne et Bézier, j’apprécie franchement ma condition de cycliste, qui me permet de me faufiler au milieu des kilomètres d’embouteillages des vacanciers sur le retour:
Autre curiosité vue sur le chemin, ce panneau original:
J’arrive à Bézier en début d’aprem:
juste le temps de faire coucou à une rencontre faite sur l’aller, et à ce moment là, je reçoit un message de Johan, un amis Lyonnais qui m’avait accompagné au Pouzin, aux premières heures de mon périple. Du coup, il est en vacances au Cap, et m’invite à passer la soirée avec eux! Bref, j’arrive à l’heure de l’apéro, et on est déjà bien entamés au moment où on arrive sur la plage, pile pour le coucher de soleil: